Les Exposés économique selon Choseven !

Il s’agit ici d’orienter le niveau 0 qui vient de passer niveau 1 en ayant choisi un élevage porcin dans son champ. Rappelons qu’il dispose alors de 90 écus et qu’il possède 1 cochon gratuit livré avec son champ.

Cet exposé, à partir d’hypothèses sur le coût de la vie au Royaume Renaissants, dresse le calendrier à respecter pour faire évoluer son champ de cochons de manière optimale, de façon à ce que le rendement maximum soit atteint rapidement et sans perdre d’argent.

I - Hypothèses de départ

• Un cochon coûte 25 écus.
• Un maïs coûte 4,50 écus.
• Un couteau coûte 22 écus et fait 3 abattages.
• Une viande coûte 20 écus.
• Un légume coûte 14 écus.
• Une bouteille de lait coûte 14 écus.
• Un pain coûte 7,80 écus.
• Travailler sans caractéristique rapporte 17 écus par jour.
• Travailler avec 20 en force rapporte 24 écus par jour.
• Embaucher une personne sans caractéristique est honnête à 18 écus.
• Un cochon est abattu au bout de onze jours.
• Un cochon au bout de onze jours donne 7 demi quintaux de carcasses en moyenne.
• Un demi quintal de carcasse est vendu 16 écus.

Il est à noter que toutes ces hypothèses sont faites dans le sens défavorable, voire très défavorable pour l’éleveur. Il est possible que les affaires marchent mieux que cela. Tout est fait pour que le calendrier marche en envisageant le pire.

II - Calendrier

Le calendrier se lit verticalement dans le temps, jour après jour. Le but premier est d’obtenir rapidement 20 en force pour pouvoir se faire embaucher à un prix plus élevé ou travailler à la forêt et abbattre 5 stères. Le nombre de cochons dans le champ augmente petit à petit, devenant ainsi très rentable. Les cochons sont nourris au maïs, il nous a semblé important de faire fonctionner les champs de maïs du village pour que l’économie tourne normalement.
Il y a une colonne pour le jour d’achat des cochons, un à chaque fois, une colonne pour le jour d’abattage et une colonne pour le jour d’achat du couteau. Il est ainsi possible de prévoir à qui acheter le couteau, et aussi de prévoir à qui vendre les carcasses. Cela nous paraît primordial de gérer à court terme l’évolution de l’élevage.
Voici la légende pour la colonne achat de nourriture :



Et le calendrier :



Etc.
Ce tableau se poursuit évidemment, mais à partir du jour 60, tout est bien plus facile, et l’éleveur n’est plus un débutant. Il peut se débrouiller seul pour acheter ses habits et hausser son niveau d’argent au dessus de 500 écus. Avec les 12 embauches, notre éleveur a gagné 12 points de réputations. Avec les 5 points déjà gagné au niveau 0 et les 17 points de confiance qu’il se sera fait au sein de la communauté, c’est bon !

III - Une courbe



La tendance de son pécule journalier est à la grande hausse, mais il y a deux pics creux très dangereux au début. Ils interviennent juste avant l’abattage du premier cochon, et aussi ceux des deux suivants. C’est normal, car nous les avons nourris et ils n’ont pas encore rapportés d’argent.

On voit aussi que le nombre de cochons est stabilisé à 4, mais il a fallu procéder par palier. En aucun cas il ne faut acheter 2, 3 ou 4 cochons d’un coup. Ce serait une catastrophe, car au début, l’éleveur n’a pas assez d’argent pour les nourrir au maïs, du coup leur revente est beaucoup moins rentable, et le joueur ne pourrait pas augmenter ses caractéristiques, notamment la force, aussi rapidement.

LE CULTIVATEUR DE MAIS DEBUTANT

Il s’agit ici d’orienter le niveau 0 qui vient de passer niveau 1 en ayant choisi de semer du maïs dans son champ. Rappelons que le champ est livré vide. Il donne ses 90 écus au comté, il est donc impératif d’avoir 110 écus à son passage au niveau 1, et avoir 20 écus pour démarrer l’aventure. Vous allez voir, c’est tendu.

Cet exposé, à partir d’hypothèses sur le coût de la vie au Royaume Renaissants, dresse le calendrier à respecter pour faire évoluer son champ de maïs de manière optimale, de façon à ce que le rendement maximum soit atteint rapidement et sans perdre d’argent.

I - Hypothèses de départ

• Un maïs coûte 4 écus.
• Une viande coûte 20 écus.
• Un légume coûte 14 écus.
• Une bouteille de lait coûte 14 écus.
• Un pain coûte 7,80 écus.
• Travailler sans caractéristique rapporte 17 écus par jour.
• Travailler avec 20 en force rapporte 24 écus par jour.
• Embaucher une personne avec 20 en force est honnête à 24 écus.
• Un champ semé avec 0 PF et récolté avec 20 PF donne 20 sacs de maïs, donc 19 vendables.
• Un champ semé avec 20 PF et récolté avec 20 PF donne 22 sacs de maïs, donc 21 vendables.

Il est à noter que toutes ces hypothèses sont faites dans le sens défavorables, voire très défavorables pour l’éleveur. Il est possible que les affaires marchent mieux que cela. Tout est fait pour que le calendrier marche en envisageant le pire.

II - Calendrier

Le calendrier se lit verticalement dans le temps, jour après jour. Le but premier est d’obtenir rapidement 20 en force pour pouvoir se faire embaucher à un prix plus élevé ou d’aller dans la forêt abattre au moins 5 stères. La culture du maïs se passe sur 7 jours :
• 1er jour : semailles : travail de force et nécessité d’un maïs en stock dans la propriété.
• 2e à 6e jour : ça pousse tranquillement.
• 7e jour : on ramasse : travail lié à la force.
De part ce rythme régulier de production, il est possible de prévoir à qui vendre le maïs, et en priorité à un éleveur de cochons bien déterminé.
Je vous passe les détails sur le rendement du champ de maïs en fonction de la force, mais je considère ici qu’il est impératif de choisir d’embaucher avec 20 en force pour semailles et récolte, sinon le nombre de sacs récoltés serait inférieur (19 au lieu de 22). Malgré tout, le premier jour, le cultivateur n’a pas assez d’argent pour embaucher pour les semailles, donc la première récolte donnera 19 sacs de maïs vendables, car il embauchera pour la récolte.
On relève les écus en début en en fin de journée.



Les premiers jours sont très délicats. Avec un départ à 20 écus, le cultivateur achète un maïs à 4 écus pour semer lui-même son champ avec 0 PF. Et il se nourrit au pain. A la fin du second jour, on se retrouve sans argent, la paye du travail ne tombe que le lendemain. Pas de bière. Désolé.

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On se rend compte que la culture du maïs n’a rien d’envahissant, ni de risqué. En effet, au bout de 60 jours, notre cultivateur a presque suffisamment d’argent pour acheter des vêtements et conserver 500 écus. Et il a gagné 16 points de réputation par embauche. Avec les 5 points du niveau 0 et les points de confiance de ses amis, il peut passer niveau 2.

C’est vachement facile le maïs, pourquoi j’élève des cochons, moi.

Il s’agit ici d’orienter le niveau 0 qui vient de passer niveau 1 en ayant choisi de semer du blé dans son champ. Rappelons que le champ est livré vide. Il donne ses 90 écus au comté, il est donc impératif d’avoir 130 écus à son passage au niveau 1, et avoir 40 écus pour démarrer l’aventure. Vous allez voir, c’est tendu, encore plus que pour le maïs. Le démarrage de cette culture est exigeant.

Cet exposé, à partir d’hypothèses sur le coût de la vie au Royaume Renaissants, dresse le calendrier à respecter pour faire évoluer son champ de blé de manière optimale, de façon à ce que le rendement maximum soit atteint rapidement et sans perdre d’argent.

I - Hypothèses de départ

• Un blé coûte 15 écus.
• Une viande coûte 20 écus.
• Un légume coûte 14 écus.
• Une bouteille de lait coûte 14 écus.
• Un pain coûte 7,80 écus.
• Travailler sans caractéristique rapporte 17 écus par jour.
• Travailler avec 20 en force rapporte 24 écus par jour.
• Embaucher une personne avec 20 en force est honnête à 24 écus.
• Le pourcentage de productivité est dépendant des caractéristiques du travailleur de la manière suivante, décrite dans la bibliothèque du royaume :

« Au repos le champ de blé a une qualité de 50% et donne 8 sacs par récolte.
Après les labours, vous pouvez porter la qualité à 55% maximum, si celui qui a travaillé possède au moins 20 points de Force.
Après les semailles, vous pouvez porter la qualité à 60% maximum, si celui qui a travaillé possède au moins 20 points d'intelligence.
Après la récolte, vous pouvez porter la qualité à 65% maximum, si celui qui a travaillé possède au moins 20 points de Force.
Au total pour avoir 65% de qualité vous devez avoir recueilli 60 points, dont 40 de force maximum et 20 de force maximum.
La qualité du champ est limitée à 65% et donne 10 sacs par récolte. »

Il est à noter que toutes ces hypothèses sont faites dans le sens défavorables, voire très défavorables pour l’éleveur. Il est possible que les affaires marchent mieux que cela. Tout est fait pour que le calendrier marche en envisageant le pire.

II - Calendrier

Le calendrier se lit verticalement dans le temps, jour après jour. Le but premier est d’obtenir rapidement 20 en force pour pouvoir se faire embaucher à un prix plus élevé ou d’aller dans la forêt abattre au moins 5 stères. La culture du blé se passe sur 10 jours :
• 1er jour : laboure : travail de force et nécessité d’un blé en stock dans la propriété.
• 2e jour : semailles : travail lié à l’intelligence.
• 3e au 9e jour : ça pousse tranquillement.
• 10e jour : récolte : travail lié à la force
De part ce rythme régulier de production, il est possible de prévoir à qui vendre le blé, et en priorité à un meunier bien déterminé.
Veuillez vous référer au paragraphe au-dessus sur le rendement du champ de blé en fonction de la force et de l’intelligence. Je considère ici qu’il est impératif de choisir d’embaucher avec 20 en caractéristiques pour laboure, semailles et récolte, sinon le nombre de sacs récoltés serait inférieur (8 au lieu de 10). Malgré tout, le premier cycle, le cultivateur n’a pas assez d’argent pour embaucher, donc la première récolte donnera 7 sacs de blé vendables, car il en garde un pour les semailles suivantes. Les autres récoltes donneront 9 sacs vendables.
On relève les écus en début en en fin de journée.



Les premiers jours sont très délicats. Avec un départ à 40 écus, le cultivateur achète un blé à 15 écus pour labourer, puis semer, lui-même son champ avec 0 PF et PI. Et il se nourrit au pain. A la fin du 3e jour, il se retrouve sans argent, la paye du travail ne tombe que le lendemain. Une bière si vous voulez, deux si vous avez très soif, mais pas plus.



Le jour 11, il faut vendre sa récolte avant de pouvoir embaucher, d'où la nécessité de prévoir qui rachète votre blé.

Sinon, on se rend compte que la culture du blé n’a rien d’envahissant, ni de risqué, à part au début. En effet, au bout de 60 jours, notre cultivateur a suffisamment d’argent pour acheter des vêtements et conserver 500 écus. Et il a gagné 15 points de réputation par embauche. Avec les 5 points du niveau 0 et les points de confiance de ses amis, il peut passer niveau 2.

C’est vachement facile le blé, en plus c’est primordial pour faire des cochons et du pain, alors ne vous gênez pas.

Bonjour à tous, me revoilà pour quelques démonstrations mathématiques. Ce n’est pas très compliqué, mais la conclusion est fort intéressante, alors je vous demande une attention particulière à ce qui suit. Il s’agit de définir le prix d’un demi quintal de carcasses de cochons en fonction du prix du maïs.

Pour les hypothèses de la culture du maïs et de l’élevage de cochons, je me suit référé bien évidemment aux précédents exposés sur les sujets concernés, à savoir :

• Un cycle de 7 jours de culture du maïs donne 21 maïs vendables.
• Les embauches avec 20 en force se font à 24 écus.
• Un cycle de 11 jours d’élevages de cochons donne 7 demi quintaux. (et je confirme ce chiffre en notant bien que le cochon est nourri le jour 0 de son achat)
• Les embauches avec 0 en force se font à 18 écus.
• Un couteau coûte 20 écus.
• L’éleveur de cochons possède 4 cochons qu’il abat en décalé.

I - Gain journalier du cultivateur de maïs

Le cultivateur de maïs gagne 21*4 = 84 écus en vendant son maïs à 4 écus pièces.
Il embauche 2 fois à 24 écus, aux semailles et à la récolte.
Sur un cycle, son bénéfice net est donc de 21*4 - 2*24 = 36 écus.
On obtient alors le gain journalier en divisant par 7.

5,10 écus par jour

Ce revenu est honnête, non ? En cumulant avec la mine ou une embauche, on vit très convenablement.

II - Du côté de l’éleveur de cochons

Je fais ici l’hypothèse que le gain journalier de l’éleveur de cochons doit être le même que celui du cultivateur de maïs. Etant donné qu’il oeuvrent tous deux pour la même chaîne alimentaire, et que ce sont 2 métiers de niveau 1, il n’y aucune raison pour que l’un soir privilégié par rapport à l’autre. Je vais donc utiliser le chiffre de 5,10 écus trouvé précédemment.

L’éleveur possède 4 cochons, et le cycle d’élevage est de 11 jours. 5,10/4 = 1,275 donne le gain par cochon et par jour nécessaire pour gagner autant que le cultivateur de maïs. Soit 11*1,275 = 14,025 écus par cochon de bénéfice net sont requis. Si je note X le prix unitaire d’un demi quintal de carcasses, alors :

• 7*X pour les 7 demi quintaux découpés ;
• 4*11 pour les 11 maïs achetés ;
• 20/4 pour le quart de couteau utilisé ;
• 18 pour l’embauche à l’abattage ;
• 25 pour l’achat du cochon ;

7*X - 44 - 5 - 18 - 25 = 14,025

X = 15,15 écus

Et là, je m’insurge, je cris, je hurle, je dénonce et j’espère que vous le faites avec moi. Avec des carcasses à ce prix là, on aurait de la viande à 18,15 écus. En tant que capitaine de l’armée et donc très friand de grand gaillard bien fort, je ne cherche qu’à faire baisser le prix de cette viande.

Ces exposés étant ancien, ils ne font office que de modèle pour se faire une idée, et n'est pas applicable au marché actuel.